26 Janvier 1918
JMO/Rgt :
"Le brouillard épais empêche toute activité des deux infanteries. Dans la soirée, l’artillerie ennemie exécute un tir intense par obus toxiques sur les batteries.
En exécution de l’ordre n° 267/S du Lieut.-colonel Cdt le sous-secteur, le 5ème bataillon relève sur ses emplacements de réserve le 4ème bataillon qui relève en première ligne le 6ème bataillon. Relève terminé sans incident à 23h30.
Pertes : néant."
JMO/SS :
"Le sergent-major brancardier CHAMBON Louis rentre d’une permission de 10 jours et d’un congé de convalescence de 11 jours. reprend son service. Mêmes emplacements qu’hier.
Indisponibles : 4e, 3 + 5e, 11 + 6e, 1 = 15
Évacués sur ambulance 1/71 Pévy :
19e MAIGUIT Ferdinand, caporal, réaction vaccinale temp=38°5 (imp. au Sce)
19e COMBALOT Elie, 2e cl. : réaction vaccinale temp=38°8
19e CROUZET Joseph, 2e cl. : réaction vaccinale temp=38°8
19e PERRIER Jean, 2e cl. : réaction vaccinale temp=38°8
22e COULAUD Jean, 2e cl. : courbature
Le 5ème bataillon ayant pratiqué les revaccinations TAB pendant son repos aux champignonnières d’Hermonville a à enregistrer quelques réactions surtout locales, avec quelques ganglions sous l’aisselle. Les réactions portent presque uniquement sur les hommes cantonnés aux champignonnières.
Dans la nui du 26 au 27 Janvier 1918, les bataillons du 217ème R.I. font mouvement dans les conditions suivantes :
le 4ème monte à Renée (1ères lignes)
le 5ème monte à Arcole (2èmes lignes)
le 6ème descend au repos aux champignonnières d’Hermonville
État sanitaire satisfaisant"